On rapproche souvent à tort la bande dessinée de la littérature, dont elle use certes des mêmes procédés d’impression et de diffusion, par le biais de maisons d’édition, tout comme on la compare au cinéma qui lui aussi utilise les techniques de prises de vues, les ellipses, les montages, les éclairages, la sonorisation, l’élaboration au préalable d’un séquencier et d’un storyboard, Et pourtant sa spécificité, c’est bien la case, la planche, les relations entre le texte et le dessin. Aussi, gardons-nous bien de n’extraire de la bande dessinée que son message ou son histoire pour étayer un propos, et attardons-nous sur l’originalité de la distribution du récit dans les cases et les ellipses narratives.
Dans les programmes
Dans tous : l’éducation à l’image
Très souvent, à l’instar des œuvres d’arts ou des publicités, la bande dessinée se prête volontiers à une analyse d’image en langues étrangères, pour évoquer par exemple des problèmes de société, comme dans le comic strip argentin Mafalda.
De fait, toutes les lectures, historiques, politiques, sociologiques, philosophiques, écologiques, littéraires, sont possibles, et n’importe quelle discipline peut s’en inspirer.
Bien entendu, en histoire des arts elle pourra être étudiée plus précisément parmi les « arts du visuel », ainsi qu’en arts plastiques :
Au collège
Son étude sera possible, notamment en 5e et 4e où « les élèves se familiarisent...
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